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Drift parcs nationaux
26-31 octobre
Parcs Nationaux de Californie
On part de San Diégo au nord, en direction de Joshua Tree National Parc. Sur le chemin on fait une petite escale sur le conseil de Kato, on visite Salton Sea et Salton City. C’est une ville abandonné. En plus cette minuscule mer a été crée artificiellement et involontairement. Toute cette eau s’est devresée ici par erreur pedant la construction du plus grand barrage de Colorado, Ce lac salé n’a aucune condition de vie, et les poissons sont vite morts et sont en train de pourrir partout autour sur le bord. L’odeur est par conséquent très fort et pas agréable. Tout ça donne vraiment une impression très glauque à cette zone.
On prend des photos, et notre prochaine destination – Walmart. On a décide d’acheter tout le matériel de camping et de le rendre après notre voyage. Tous les américains font ça, et plusieurs personnes nous l’a conseillé, du coup on essaie. Une fois on est prêt à passer notre nuit au camping, on arrive dans Joshua Tree park. C’est une espace de préservation de joshua trees (yukkas, en français). On les apperçoit pas tout de suite. Le parc est en fait divisé en deux partie, et le premier désert contient une autre espèce d’arbre – ocotillos. Pour retrouver les joshua trees on doit avancer de quelques dizaines de miles.
Mais d’abord on trouve un jardin des cactus. C’est une espèce particulière, son surnom est « teddy-bear » cactus. Leurs piques ont l’air tout doux et chou, ils donnent envie de les serrer dans ses bras ! Mais il faut quand même se méfier, parce que le seul but de ces cactus c’est de se reproduire, et ceci ils peuvent faire en s’accrochant bien à nos habits, nos chiens ou encore notre peau.
Mon défi est de retrouver l’arbre qui a fait couverture de l’album de U2. C’est un défi irréalisable, et non parce que il y a des milliers de ces arbres, mais aussi parce que selon les gardiens, le groupe ne l’a pas fait dans le parc national, ne voulant pas payer l’entrée
A part les joshua tree ce parc national est aussi connu grâce à ses roches « boulders ». on dirait qu’un énorme enfant à empilé des cailloux les uns sur les autres. Ces formations rocheuses sont amusants à observer, et ils attirent évidemment beaucoup de grimpeurs. Nous on fait juste une petite marche et reprend la route.
Ensuite on va à Séquoia National forest. La forêt nous accueille avec un brouillard qui rend ces arbres gigantesques encore plus impressionnant – on ne voit pas leurs couronnes! On a retrouvé la plus grande séquoia du monde – Général Sherman, qui a un tronc de 31 mètres. Les autres ne sont pas moins impressionnants. Une idée intéressante de l’administration du parc – ils s’amusent à mettre les contours des arbres en taille réelle parterre, pour qu’on ait l’aperçu de leur grandeur.
On voulait continuer de camper, mais en montant de plus en plus haut, on se rend vite compte que l’hiver nous attrape ici. Il fait 0 degré à 3000 mètres, on décide alors de prendre un lodge. Nous voilà de nouveau à l’hôtel 5 étoiles.. Pour aventurer quand même un peu, on va se balader dans la forêt. On voit de magnifiques reflets du coucher de soleil à Sierra Nevada et plusieurs biches qui n’ont absolument pas peur de nous. Le résultat de cette balade, je ne retrouve plus mon téléphone… On doit retourner le chercher le lendemain, et ô miracle, on le retrouve sous un sapin !
Quelques 150 km, et on arrive dans le fameux parc Yosemite. C’est le deuxième plus grand parc national des Etats-Unis qui s’étale sur plus de 3000 km carrés dans le montagnes de Sierra Nevada.
Malgré le froid, le camping est overbooké, les hôtels sont hors de prix, et on décide de prendre une chambre en bas, dans le village Fish Camp. Le soir même on monte au Glacier Point, une plate-forme en haut d’une falaise de 900 mètres offrant une vue à couper le souffle sur la Valley de Yosemite et Curry Village. Juste en face on voit le fameux Half-Dome et la cascade de Yosemite, les deux paraissant minuscule de notre point de vue bien élevée. On fait quelques prises de vue de Sylvain en roller, et on descend manger en ville.
Le lendemain c’est le grand jour. Notre défi aujourd’hui c’est de faire de l’escalade. On prend un guide (le plus cher de toute notre vie), et il nous amène à faire un multi-pitch de 250 mètres sur une falaise qui s’appelle Manure Pile Buttress. On n’ose pas aborder El Capitan (900m) mais le Tas de Merde de Vache est aussi pas mal impressionnante.
C’est dommage de quitter Yosemite aussi vite, mais aujourd’hui c’est le dernier jour où notre route est ouverte. Deux heures après qu’on en est sortis, la route s’est fermé pour tout l’hiver. On est largement récompenses par la route presque déserte et les vues incroyables. On quitte Yosemite par la Tioga (Tayoga) Pass, et c’est le dernier moment. Sylvain fait la dernière descente en roller au bord de magnifique canyon et de lacs, et on se dirige au nord de Californie, vers le lac Tahoe.
Club Diver – Electronic Hard par Kevin MacLeod est distribué sous la licence Creative Commons Attribution (https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/)
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